Je vous entretenais il y a peu, à travers l’exemple de Tyler Cross, du polar en bande dessinée et de la forme d’intérêt que me semblait receler cette forme narrative singulière : l’aptitude à revisiter un schéma formel très largement formaté… Continuer la lecture
Passionné depuis toujours par la science-fiction (j’avais longuement abordé ce point avec lui lors de l’entretien vidéo qu’il avait eu la gentillesse de m’accorder il y a quelques mois et qu’on retrouvera sur ce même blog ici : https://nicolasfinet.net/seu-leo/), le Brésilien… Continuer la lecture
C’est parfois ce qui est désespérant, avec l’Histoire : l’impression qu’elle bégaie. N’importe quel lecteur / lectrice français(e) un peu informé(e) ne pourra pas ne pas s’en faire la réflexion à la lecture de Congo 1905 – Le Rapport Brazza, qui… Continuer la lecture
LCDL – BD – SOMMAIRE NICOLAS FINET (JAPON MAI 2018) from MEDIASHAKE on Vimeo.
J’ai naguère été le premier à éditer en France l’immense Park Kun-woong. C’était en 2006 et c’était son premier titre, la trilogie Fleur, initialement paru en Corée du sud deux ans auparavant et publié en français dans la collection Écritures… Continuer la lecture
D’emblée, il me faut remercier Joseph Falzon et Thomas Cadène de deux choses : d’une part avoir eu le bon goût de citer en exergue de leur livre l’un des plus grands auteurs des lettres américaines contemporaines, Don DeLillo (en l’occurrence… Continuer la lecture
Ma génération fait historiquement partie des premières à avoir célébré avec ferveur et constance les littératures de genre – et conséquemment, à avoir ainsi préparé l’émergence de ce qui est devenu le mainstream d’aujourd’hui. Paradoxalement pourtant, je n’ai jamais, dans… Continuer la lecture
Hanté par l’image de son épouse disparue, un peintre solitaire s’est réfugié dans une maison isolée de bord de mer, entre océan agité et nature sauvage. La forêt toute proche est profonde, parfois presque hostile. Nulle âme qui vive dans… Continuer la lecture
Voici, à sa manière, un petit tour de force : mener un récit de haut vol et de longue haleine (120 planches, quand même) avec une densité en dialogues si faible qu’elle ne permettrait guère, chez d’autres, de développer plus d’une… Continuer la lecture
Singulier statut que celui d’auteurs et de personnages comme Frank Le Gall et Théodore Poussin, qui plus d’une décennie durant peuvent se permettre de déserter la scène, ou peut s’en faut, et dès lors qu’ils choisissent de revenir renouent illico… Continuer la lecture