Un quarantenaire nommé (À Suivre)

Il y a quatre décennies, à une époque où la presse écrite était encore influente et les kiosques nombreux, un nouveau périodique faisait son apparition dans le paysage de la bande dessinée : il s’appelait (À Suivre) et en quelques années… Continuer la lecture

Jacques Ferrandez : “Avoir la chance de publier aux côtés des auteurs que j’aimais”

S’il existe parmi les auteurs de bande dessinée une « génération (À Suivre) », vous en êtes le parfait représentant, puisque vous êtes vraiment né, professionnellement parlant, en même temps que le magazine… Jacques Ferrandez : C’est vrai, j’ai même poursuivi mes études… Continuer la lecture

(À Suivre) 1978 1997 Une aventure en bandes dessinées – Chapitre 2 : Une équipe qui gagne

(À Suivre) s’installe avec bonheur et gourmandise dans sa légende toute neuve. Le magazine a su imaginer, incontestablement, une formule inédite au sein de la presse de bande dessinée. C’est encore l’époque où tout paraît possible, toutes les audaces, toutes les expérimentations. Continuer la lecture

Max Cabanes – “Toute cette équipe d’auteurs était en train d’inventer quelque chose de neuf”

Vous faites partie de la toute première vague des auteurs (À Suivre), puisque vous êtes présent dans le magazine dès son premier numéro, en équipe avec Jean-Claude Forest. Comment cette collaboration est-elle née ? Max Cabanes : J’ai rencontré Forest de façon… Continuer la lecture

Jacques Tardi – “Ce qui m’intéressait, c’était dessiner, dessiner, dessiner !”

Vous avez vécu les prémisses d’(À Suivre) bien avant son lancement effectif… Jacques Tardi : Pas directement, mais j’étais déjà « dans la place » chez Casterman, oui. En fait, pour bien appréhender ce qui s’est passé avec (À Suivre), il faut remonter… Continuer la lecture

(À Suivre) 1978 – 1997 Une aventure en bandes dessinées – Chapitre 1 : La promesse

« (À Suivre) sera l’irruption sauvage de la bande dessinée dans la littérature (…) ». Énoncée dès le premier numéro dans un éditorial resté fameux, la promesse programmatique du nouveau magazine fait sensation. Personne en France, alors, n’a encore publié de la bande dessinée de cette manière, en grands chapitres de longue haleine, et avec une prédilection marquée pour la densité romanesque. Qui plus est, le casting de la première vague d’auteurs – Tardi, Pratt, Auclair, Comès, Muñoz, Manara, Forest – est irréprochable. Mise sur orbite parfaitement réussie. Continuer la lecture